constance

constance traduction du poème constancia tu n’es pas le courant qui dissipe mes méandres, tu n’es pas la parole qui me fait taire et me enchaine, tu n’es pas la nuit qui se rebelle et se devêt, tu n’es pas la mer qui mouille mes aurores, tu n’es pas la clarté qui se dégage de…

le silence

le silence traduction du poème el silencio je veux faire l’amour avec toi sans éloigner le silence, je voudrais voir passer les heures entre pauses et caresses, me perdre lentement dans tes yeux jusqu’à connaître tes regards, pressentir dans tes recoins chacun de tes sourires, et faire de cette tranquille obscurité un monde entièrement à…

anniversaire

anniversaire traduction du poème aniversario je t’aime parce que tu as ouvert les fenêtres cachées derrière mes persiennes parce que tu as éclaircie mes yeux et tu as semé des couleurs que mes paysages ignoraient car mon coeur a de nouveaux sentiers défrichés par tes mains car mon esprit a des frontières inexplorées que tes…

corps absent

corps absent traduction du poème cuerpo ausente tu as l’âme claire et le regard limpide comme le soleil levant tu as les lèvres fraîches et les yeux doux comme l’air du matin tu gardes mes poèmes dans ton lit tu gardes mes rêves sous ton oreiller tu gardes mes sourires dans tes pièges et mon…

avec toi

avec toi traduction du poème contigo Je veux caresser tes cheveux jusqu’à te voir endormie, attendre ton sourire à l’autre côté du lit, toucher tes lèvres de mes doigts, savoir que tu es là, être si près de toi que je pressente ton corps sans même que tu te rendes compte que je me cache…

balcons

balcons traduction du poème balcones nous construisons des murs pour attirer l’horizon nous fabriquons des toits pour rapprocher le ciel nous ouvrons des fenêtres pour laisser passer le temps nous façonnons des portes pour palper le monde nous créons des balcons pour toucher l’infini

combien de poèmes

combien de poèmes traduction du poème cuántos poemas combien de poèmes enferment tes yeux prophétiques, combien de nuits hantées de paroles d’allées-venues de chemins détournés, combien de caresses enferme ma poitrine, recèle mon front, enserre ma peau, combien de dettes n’ai-je pas envers la vie qui t’a conduite à moi comme un coup de hasard…